<DIV>Quelque soit le modèle de jeu, je pense que les cotes sont importantes; Toutes les cotes !</DIV><DIV> </DIV><DIV>Je parle des probabilités d'améliorations de mains, les outs (donc) mais aussi les contre-out (les cartes pouvant améliorer le jeu de l'adversaire) plus généralements délaissés.</DIV><DIV> </DIV><DIV>Cette "cote de gain" doit être mise en relation avec la cote financière, afin de déterminer si le coup est intéressant ou pas. Car même avec des probs nous mettant favori (parfois légèrement), il n'est peut-etre pas intéressant de suivre le coup si il ne rapporte rien.</DIV><DIV> </DIV><DIV>Les cotes implicites peuvent aussi jouer un rà´le important dans des coups à plusieurs notament ou contre un joueur désireux d'action et prêt à miser gros. Elles doivent se recouper avec les deux autres.</DIV><DIV> </DIV><DIV>Il reste l'espérance de gain à long terme, que je ne maitrise pas du tout et qui peut aider à prendre la décision finale (notament sur u coup qui engage la totalité de son tapis. Mais je laisse d'autres expert parler de ce calcul.</DIV><DIV> </DIV><DIV>Je trouve dommageable de voir certains joueurs chercher des tirages ventraux uniquement parce que le pot est bien gonflé, sans même se soucier de leurs cotes ou de leurs probabilités (maigres) d'obtenir leur carte.</DIV><DIV>Suivre contre les cotes (financière) n'est pas toujours une erreur si on estime pouvoir combler ce déficit à l'abbatage grâce aux cotes implicites (ce que j'ai d'ailleurs foiré lamentablement l'autre jour !).</DIV><DIV> </DIV><DIV>Pour conclure, je pense qu'on doit s'attacher à calculer et à respecter ses cotes, que ce soit en tournoi ou en cashgame. C'est le seul moyen pour limiter la part de hasard et donc gagner plus lorsqu'on est favori et perdre moins lorsqu'on ne l'est pas. Mais surtout cela permet de ne pas s'embarquer dans des coups o๠on a pas été invité, sous prétexte qu'on aime bien notre main, o๠que l'adversaire est faible...</DIV>